lundi 27 mai 2013

Recette du week-end : Quiche asperges - poivrons

Un de mes grands plaisirs quand j'ai le temps, c'est de cuisiner. Je suis loin d'être une pro mais je prends plaisir à le faire et surtout à manger :-)

Alors quand ce ne sera pas trop mauvais, je le partagerai avec vous et là, en l'occurrence, c'était plutôt bon.

So, here we go!

Ingrédients _________________________________________

- 1 pâte brisée ou feuilletée
- 8 asperges vertes
- 1 poivron rouge
- 3 oeufs
- 200 ml de crème fraiche
- 1 càc de curry
- du parmesan râpé


Recette _____________________________________________
 
- On coupe en petit dés le poivron (après l'avoir épluché et épépiné)
- On garde entre 5 à 10 cm de la pointe (tête) des asperges (pour la déco). On coupe le reste en dés ou en rondelles.
- On plonge le tout (poivron et asperges) dans une eau salée et bouillante pendant environ 10 minutes
- On bat les oeufs en omelette, on ajoute la crème fraiche, on ajoute le curry, on sale et on poivre. On ajoute ensuite autant de parmesan que l'on veut puis les asperges (sans les pointes) et les poivrons.
- On verse le tout sur la pâte puis on décore avec les pointes d'asperges.



- On enfourne pendant 25 minutes à 200°C et puis TADAA, on déguste ;-)


vendredi 24 mai 2013

360 jours = un an...

Aujourd'hui il y a du soleil! Je devrais être heureuse, optimiste... et pourtant, non!

Chaque matin, c'est pareil je prends le train pour aller travailler. Une heure de trajet. Enfin, ça c'est la théorie. Parce que oui la SNCB n'a que de belles théories, pour la mise en pratique c'est autre chose.

Tout le monde s'en plaint. Ce n'est sans doute qu'un article de plus qui ne changera rien. Mais, au moins, il me permettra de mettre "des mots sur des maux". Parce qu'aujourd'hui, ras-le-bol.

Un retard ce n'est pas grave quand tu le prends isolément et tu vas dire qu'y a des problèmes bien plus importants. C'est vrai... quoique!

Ce matin, je suis à la bourre, je me dépêche pour attraper mon train. A quelques pas de la gare, je constate qu'il a beaucoup de monde en dehors des quais... Mmmh ça sent mauvais. Et là surprise : pas de trains. La raison: conditions météorologiques. Pardon ? On est en hiver depuis six mois et t'oses me dire que les conditions météo sont mauvaises ? T'étais partie où la SNCB ces dernières semaines ?

Finalement, ça ça fait partie de mon quotidien. Si ce n'est que tu ne reçois aucune info : quand arrivera ton train ? Suspens !

Cinquante minutes plus tard un train arrive enfin. C'est sans compter que quatre gares plus loin, il nous demande de changer et prendre celui qui se trouve sur la voie d'en face. On a pas beaucoup de temps, on court. On s'installe. On ne démarre pas. Tout le monde se regarde en se demandant quoi faire. Certains sortent et courent vers une autre voie. On suit le mouvement. On s'installe dans un autre train, ou devrais-je dire un wagon à bestiaux tellement on est nombreux et empilés (c'est à te demander si t'es bien au 21ème siècle!). On finira enfin par démarrer quelques minutes plus tard après que certains aient piqué un sprint pour nous rejoindre.

Peut-être que la SNCB a un contrat d'exclusivité avec le lobby des cardiologues et des thérapeutes : doses de stress intenses, courses sans fin, etc. Avec eux, si t'es malade, tant pis. C'est la loi du plus fort qui l'emporte. Non mais, faudrait pas qu'en plus ils attendent ceux qui sont à la traîne! Tu te rends pas compte, ils pourraient prendre du retard! Laisse-moi rire!

Gentiment, on complète tous notre feuilles de retard pour recevoir une compensation financière. Et là, le choc, je calcule, je recalcule. Non c'est pas possible, c'est une erreur... 120 heures ?  5 jours ? J'ai perdu 5 jours de ma vie sur une année juste en comptant les retards ? C'est une blague ? Et comment tu comptes me les rendre mes cinq jours ? Tu vas m'offrir une semaine de vacances tous frais payés ? J'aimerais bien voir ça...

Je m'arrête ici et profite de cette collection "été hivernal" pour décerner la Palme d'or à la SNCB: la palme des retards, de la non-communication, des prix exorbitants et surtout du bon foutage de gueule!


(Désolée pour ce coup de gueule mais ça devait sortir!)

mercredi 22 mai 2013

Et pourquoi pas?

À 25 ans, on pourrait croire que la vie est plus facile. Les études sont finies, on a un job, on a ou on cherche un logement, on a ou on cherche sa moitié, bref la vie quoi! Tout semble suivre son cours normalement.

Jusqu'au jour où on change brutalement de décors. Plus de petite campagne adorée ou les voisins se disent bonjour. Plus de jardin accueillant en été (s'il arrive cette année!). Place maintenant à l'appartement trois pièces, aux voisins hostiles, aux coups de klaxons tous les 100 mètres. Welcome to Brussels!

Ok! Vu comme ça, ce n'est guère réjouissant. Pourtant, j'ai décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur (hé t'as vu, j'arrive à placer des proverbes intelligents). Parce que vivre en ville ça a aussi ses tonnes d'avantages: des restos partout, des magasins à tous les coins de rue ouverts 24h/24 (difficile d'aller chez le voisin super canon pour lui demander son sel donc...), des transports en commun qui passent plus qu'une fois par jour, etc.

Mais pourquoi écrire un blog ? 

La question qui tue comme diraient certains. Est-ce qu'il faut vraiment une raison ? L'envie de partager mon quotidien, mes coups de gueule, mes déceptions, mes découvertes, mes bons plans... est-ce suffisant ? Je l'espère! Et puis au fond, si ça ne vous intéresse pas, la petite croix en haut à droite est toujours là (non non revenez, c'était pour rire).